Démoralisé par son train-train abrutissant, Pierre décide de troquer la sueur de l’usine pour la clim de l’hôtel. Enfermé avec trois autres chambreurs dans une suite dont les fenêtres laissent filtrer un morne demi-jour, il fera l’expérience d’une oisiveté apparemment tout aussi stérile que son affairement, jusqu’à ce que, de cette grisaille étouffante, naisse une idée…